TisseMots

   Source : https://www.lebonbon.fr  Un globe monumental rétroéclairé de 7 mètres de diamètre imprimé en surface avec des images très haute résolution de la NASA : non, ce n'est pas au musée que vous pourrez contempler cette merveille mais à Beaugrenelle Paris, jusqu'au 8 novembre. Créée par l'artiste britannique Luke Jerram, la bête se nomme joliment GAÏA, qui signifie Terre en grec ancien pour celles et ceux (comme nous) qui ne maîtriseraient plus totalement la langue. Luke Jerram, c'est l'homme qui est à l’origine de "Museum of the Moon", une sculpture en forme de lune vue par plus de 3 millions de personnes, au Grand Palais notamment. GAÏA, c’est une première à Paris. Après l’Australie, Taïwan, Hong Kong ou encore le Royaume-Uni, Beaugrenelle constitue la première escale de l’oeuvre en France. En effet, jusqu’au 8 novembre prochain, Beaugrenelle Paris s'engage pour la planète avec cette gigantesque installation autour de laquelle vient graviter une

 Aurore C. Le soleil matinal, me rejoint sur ce banc du rendez-vous, c’est le moment préféré des sportifs. En cette matinée, je voudrais contempler Mère Nature, qui donne vie à tout être. La pierre, le végétal ne sont pas des êtres vivants. Ils sont indispensables à notre vie. Le végétal se renouvelle sans se lasser, s’adaptant à son environnement. La pierre venue des profondeurs de notre mère terre, à sa surface semble éternelle. « L’être supérieur » la taille pour sa demeure, la réduit en poussière pour en extraire toute sa richesse. Ces poussières d’atome semées au vent retournent-elles aux origines de sa formation ? Mère Terre semble éternelle, mais devant l’avidité, la cupidité de « L’être supérieur » qui le conduit à la destruction que penser… Dans sa tragédie la Covid-19, nous ouvre une porte, la nécessiter de vivre autrement, l’urgence d’agir. « L’être supérieur » sera-t-il capable de prendre soin de Mère Terre ? De se mobiliser humblement en une seule humani

Nous voyons chaque année l'eau montée à l'intérieur des terres. Villes et villages en bordure de mer sont grignotés par la mer. Les habitants subissent inondation sur inondation et les assurances ne cessent de monter leur prix et revoir la  garanties de leurs contrats à la baisse. Nos forêts sont menacées de plus en plus par les flammes, la biodiversité est en danger et avec qu'elle notre vie. En effet comment nous soigner sans les molécules des végétaux ? Préserver notre planète, consommer avec discernement et modération, vivre en solidarité avec toute l'humanité d'aujourd'hui et de demain est notre seule chance. Il reste une question de taille, quand allons nous mobiliser avec sérieux et ténacité ? Il y a urgence, l'Humanité se meurt et nous sommes aveuglé-e-s par notre petit confort et nos actions en bourse.