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Articles

Affichage des articles du septembre, 2020

Des femmes pour les femmes

 Je viens de découvrir le dernier billet de Léa Stréliski "des femmes pour les femmes". Je vous le partage. Sa prose enracinée dans aujourd’hui, ne cache rien des épreuves et des joies. Retrouvez tous ses billets sur : https://lactualite.com/auteur/lstreliski/   Des femmes pour les femmes  L’été a été doux. L’automne, on ne sait pas trop comment il sera. L’hiver encore moins. Mais il se fera, c’est certain, entouré de femmes qui aident les femmes. Elles avaient quoi ? Toutes six ans ? Non, y en a une dans le lot qui en avait sept. D’ailleurs, elle savait déjà lire, ce qui était pratique pour les indices de la chasse au trésor. C’était l’anniversaire de ma fille la fin de semaine dernière. On a fait une fête COVID-friendly  : nombre légal d’invités, verres identifiés, activités extérieures. J’avais même bourré la piñata de petites bouteilles de Purel. Il faut ce qu’il faut. N’empêche que le lendemain à minuit, cette fête aurait été illégale. Maintenant, six personnes

Un gigantesque globe de 7 mètres interroge l'avenir de la planète à Beaugrenelle

   Source : https://www.lebonbon.fr  Un globe monumental rétroéclairé de 7 mètres de diamètre imprimé en surface avec des images très haute résolution de la NASA : non, ce n'est pas au musée que vous pourrez contempler cette merveille mais à Beaugrenelle Paris, jusqu'au 8 novembre. Créée par l'artiste britannique Luke Jerram, la bête se nomme joliment GAÏA, qui signifie Terre en grec ancien pour celles et ceux (comme nous) qui ne maîtriseraient plus totalement la langue. Luke Jerram, c'est l'homme qui est à l’origine de "Museum of the Moon", une sculpture en forme de lune vue par plus de 3 millions de personnes, au Grand Palais notamment. GAÏA, c’est une première à Paris. Après l’Australie, Taïwan, Hong Kong ou encore le Royaume-Uni, Beaugrenelle constitue la première escale de l’oeuvre en France. En effet, jusqu’au 8 novembre prochain, Beaugrenelle Paris s'engage pour la planète avec cette gigantesque installation autour de laquelle vient graviter une

Vivre avec les araignées

Pourquoi il faut laisser la vie sauve aux araignées de votre maison  Extraits de l'article de Matt BERTONE, formateur en entomologie, Université d’État de Caroline du Nord (États-Unis).   Source Ouest-France Les araignées ont beaucoup trop de pattes et n’ont rien à faire chez vous, pensez-vous ? Pourtant, ce n’est pas grave d’avoir des araignées à la maison. En fait, c’est normal. Et même très utile. Un entomologiste va tenter de vous en convaincre… Il sera probablement dur de vous convaincre, mais laissez-moi essayer : ne tuez pas la prochaine araignée que vous croiserez chez vous.    Pourquoi pas ? Car les araignées sont une partie importante de la nature ainsi que de l’écosystème domestique. Des araignées vivent chez vous Les gens aiment penser que leur logement est sûr et isolé du monde extérieur. Pourtant, de nombreux types d’araignées peuvent y être retrouvés. Certaines sont accidentellement piégées, alors que d’autres ne sont que des visiteuses temporaires. Quelques espèces

Frites maison au four (sans friteuse)

  Ingrédients Pour 2 personnes 600 g de pommes de terre bintje 2 cuillerées à soupe d'huile d'olive sel Préparation pour Frites maison au four (sans friteuse) 1. Lavez soigneusement et épluchez les pommes de terre. Coupez-les en lamelles d’1 cm d’épaisseur ou moins, puis en bâtonnets. 2. Dans un saladier, arrosez les frites d’huile et assaisonnez-les sans excès. Mélangez bien de façon à répartir régulièrement les ingrédients. 3. Étalez les frites sur une plaque recouverte de papier cuisson. Faites-les cuire durant 30 min dans le four préalablement préchauffé à 220°C, th7. Surveillez de temps à autre, si les frites au four prennent une couleur trop dorée, baissez la température du four. Astuce pour la cuisson des frites Pour avoir des frites au four moelleuses à cœur, utilisez des pommes de terre de type Bintje. De plus, leur grand format vous permettra de faire de plus grandes frites.

Une maison en polystyrène

Vue sur France 3 à Beaufort, une maison en polystyrène est en train d'être construite un couple a opté pour un système surprenant : les blocs de polystyrène. À Beaufort, près d'Hautmont, un chantier suscite la curiosité. En bordure du village, une maison a fait son apparition en seulement quelques heures, construite en polystyrène. "J’étais parti sur une maison en bois, et quand j’ai vu la complexité, le temps de mise en œuvre et le coût, j’ai cherché ce qui se faisait d'autre" explique Christophe Pépin, le futur propriétaire. Son choix s'arrête finalement sur le polystyrène : "Je trouve ce système génial." Un système de construction rapide et solide Ce système, ce sont des blocs de polystyrène, fabriqués à Lezoux, en Auvergne. À la manière d'un jeu de Lego, il suffit ensuite de les assembler pour monter la maison. Une opération facilement réalisable en une journée de travail, grâce à la numérotation des blocs. "Au début du projet, j’étais s

Paris : où sont les 6 statues de la Liberté ?

      Source Vivre Paris Vous connaissez celle de New-York qui fait 46,05 mètres (93 mètres socle inclus), mais savez-vous qu’il y a pas moins de 6 répliques de la Statue de la Liberté à Paris ? Si, si on vous jure !   1 – Sur l’île aux Cygnes (XVe arr.) Sans doute la plus connue de toutes les répliques de la statue de la Liberté : cette statue a été réalisée en même temps que l’originale et a été offerte à la France par le Comité des Américains de Paris à l’occasion du centenaire de la Révolution. Installée et inaugurée en 1889 au niveau du pont de Grenelle, elle faisait alors face à la Tour Eiffel et pointait sa torche en direction de l’Elysée ; elle sera finalement déplacée dos à la Grande Dame en 1937 afin de faire face à New York où se trouve sa grande soeur.   2 – Dans le  jardin du Luxembourg (VIe arr.) C’est un modèle en bronze beaucoup plus petit (2,85m de hauteur) qui est placé en 1906 dans le Jardin du Luxembourg. Cette petite réplique a finalement été déplacée

Paris : un gros pic de chaleur attendu

  Source Vivre Paris Dans ces prochains jours, un pic de chaleur inattendu est prévu ! Les guêpes sont présentes dans la capitale parce que les températures sont douces et comme la rédaction de Vivre Paris vous l’expliquait, elles ne partiront pas avant le mois d’octobre. Et pour cause ! Un pic de chaleur est attendu dans les jours à venir, ce qui favorise la prolifération de ces petites bêtes volantes et offre un mois de septembre particulièrement chaud. Alors qu’il faisait plutôt bon ces derniers jours, pas moins de 27 degrés sont annoncés pour ce vendredi 11 septembre et il devrait faire jusqu’à 35 degrés (à l’ombre) lundi 14. De fortes chaleurs qui devraient perdurer toute la semaine prochaine avant de laisser la pluie revenir et nous rafraichir d’ici 15 jours.   Profitez donc du soleil avant qu’il disparaisse pour laisser place à l’hiver…

Hôtel de Beauvais : 5 anecdotes insolites

  Photo Wikipédia / source Vivre Paris L’hôtel de Beauvais est l’un des magnifiques hôtels particuliers dont regorge le quartier du Marais à Paris : on vous dévoile 5 anecdotes sur son histoire insolite. 1. Le terrain a été offert par la reine Anne d’Autriche à Catherine Bellier, sa première femme de chambre, pour « service rendu ». Lequel ? Celui d’avoir dépucelé son fils, le jeune Louis XIV ! Dès 1654 celle qu’on surnomme alors Cateau la Borgnesse y fait construire cet hôtel, qui prendra le nom de son époux Pierre Beauvais. 2. C’est l’architecte du roi, Antoine le Pautre, qui réalise ce bel édifice de style baroque. En référence au nom de la propriétaire il décore la cour d’honneur de têtes de béliers, et d’un visage de femme qui serait le seul portrait (pas très flatteur) qui nous soit parvenu d’elle… 3. Au milieu du 18ème siècle l’hôtel est loué par l’ambassadeur de Bavière. C’est ainsi que le petit Mozart (dont certaines œuvres sont projetées gratuitement ce mois-ci) y